5 anecdotes surprenantes sur le Trivial Pursuit

 

Certains diront que le Trivial Pursuit n’est pas un jeu, simplement un test de connaissance…

 

Des règles « bêtes et simples » pour un concept « intellectuel et ludique » : on lance le dé et on avance sur une case. On répond à des questions, si la réponse est bonne on continue, si elle est mauvaise, on tente au prochain tour ! Le but est de répondre correctement aux questions « camembert » pour remplir notre pion (un camembert vide).

 

« Cette leçon vaut bien un …camembert… sans doute ».

 

Derrière ce jeu se cache quelques petits secrets. Nous avons relevé 5 anecdotes étonnantes qu’on avait envie de partager avec vous !

 

1. Aux origines : Voltaire + le Québec = le Trivial Pursuit

Le jeu a été inventé en 1979 par 2 journalistes québécois : Chris Haney et Scott Abbott. D’abord nommé « Quelques arpents de pièges », ce nom viendrait d’une expression utilisée par Voltaire pour décrire l’actuel Québec : « Quelques arpents de neige. ».

C’est à sa commercialisation anglophone que le nom « Trivial Pursuit » apparaît et remplace le premier titre.

 

En France, le jeu s’appelle d’abord « Remue-Méninges » puis reprend ensuite le succès de son nom anglophone.

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2. Le dessinateur avait 18 ans…et a été payé en actions !

Les créateurs ont fait beaucoup de choses tout seuls ! Ils ont passé des mois à écrire pas moins de 6 000 questions. Ils ont rassemblé 40 000 $ pour financer leurs maquettes et pour qu’elles soient complètes.

 

Mais ils ont embauché un dessinateur pour créer le jeu. En effet, c’est un jeune homme de 18 ans qui a conçu le design du plateau. Ils l’ont payé avec cinq actions de leur société… et comme le jeu est un succès… il a bien été payé !

 

Sachez aussi que les créateurs ont mis 2 ans à commercialiser le jeu (de 1979 à 1981). Ce n’est qu’en 2008 que Hasbro (éditeur de licences à Succès comme le Cluedo et le Monopoly) leur rachète les droits.

 

La culture c’est comme la confiture, moins on en a plus on l’étale, non ?

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3. Des questions « Triviales » ?

N’avez-vous jamais trouvé que les questions de ce jeu étaient… pointues ? L’aspect « anecdotique » des questions est en fait précisément l’objectif du jeu.

 

Traditionnellement, les « Trivia games » sont simplement des jeux où il faut répondre à des questions…

 

Le mot « Trivial » en anglais désigne quelque chose d’insignifiant, futile, banal. « Trivial Pursuit » signifie donc « quête futile », plutôt bonne illustration de ces parties de plusieurs heures pour mettre en avant les égos de chacune et de chacun !

 

Connaître à quoi correspond la case 31 du jeu de l’Oie = un camembert ?

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4. Le Trivial Pursuit a rempli le Palais Omnisport de Paris-Bercy

Telle une star de la chanson ou une compétition sportive, le Trivial Pursuit a déjà rempli un stade ! A l’occasion des 20 ans du jeu, Hasbro a organisé la plus grande partie du monde avec pas moins de 3 000 joueurs et 750 tables.

 

Un évènement gratuit où les gagnants remportaient un voyage.

 

5. Médaille en chocolat dans le classement des jeux mondiaux !

Le jeu a connu un très gros succès depuis sa commercialisation. Avec plus de 100 Millions d’exemplaires vendus, il est 4e sur le classement mondial des jeux de sociétés les plus vendus au monde.

 

La médaille en chocolat certes, mais penchons-nous sur les dates…

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A peu près au même niveau que le Cluedo qui est aussi donc à 100 Millions, un détail change : le Cluedo est de 30 ans son ainé ! Le podium est aussi plus vieux voir beaucoup plus vieux que le Trivial Pursuit, sachant que d’autres jeux du classement ne sont aussi loin de respirer la jeunesse !

 

Pas mal le petit jeune !

 

Devant lui, se trouve en 1er le Monopoly (1936) (on vous invite à lire notre article sur le Monopoly), en 2e l’indémodable Scrable (1938) et en 3e position le Uno (1971).

Et si on créait ensemble un jeu dans lequel on distille des informations « triviales » pour faire découvrir votre destination au plus grand nombre ?

On est prêt à créer le nouveau « Remue Méninges » du numérique !

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